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et nous retombons sur l'équation analogue à l'équation (i3 bis) dans l'hypothèse a = c, b — d. D'ailJeurs l'équation différentielle, contient le déplacement électrique et nous sommes à l'abri de l'objection que je faisais tout à l'heure. On voit donc qu'il est à la rigueur possible de rendre compte du quadruplet de M. Cornu par la théorie de Lorcntz généralisée. Je laisse de côté les cas plus compliqués où l'on aurait des sextu- plets ou des phénomènes encore plus complexes. Quoique le caractère artificiel de ces hypothèses soit manifeste il convient donc de conserver provisoirement la théorie de Lorentz généralisée qui seule, jusqu 'à présent, permet de relier entre eux les faits observés.