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axes des coordonnées, la force sera, elle aussi, dirigée suivant ces axes, seulement le coefficient de proportionnalité sera dif- férent suivant que l'écart sera dirigé parallèlement à x, paral- lèlement à y ou parallèlement à z. Si on a un écart oblique par rapport aux axes des coordonnées, la direction de la force ne coïncidera plus avec la direction de l'écart. On a donc dans le cristal trois directions principales jouissant de cette propriété que si l'écart est dirigé suivant l'une de ces directions, les forces qui tendront à ramener la molécule à sa position d'équilibre, seront dirigées suivant la même direction que l'écart. Pour un cristal qui n'est pas orthorhombique, on trouverait encore pour chaque espèce de particule trois directions princi- pales qui seraient les axes de l'ellipsoïde k= i ; seulement ces directions ne sont pas les mèmes pour les particules des diffé- rentes sortes, et par conséquent on ne peut plus prendre ces directions comme axes des coordonnées ; et la symétrie dis- parait. On voit donc que les résultats sont à peu près les mêmes que dans la théorie de Helmholtz.