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une couche infiniment mince, de densité lf+ mg + nh, prove- nant de la polarisation du diélectrique. Tout se passera en définitive comme si nous avions une cou- che unique de densité [p]. Il importe de ne pas confondre ces deux densités superfi- cielles [2] et [G] dont la définition est très différente. Dans un diélectrique, on a : et en différentiant par rapport au temps, en tenant compte des i• df . , .., relations u ~=di' etc., on retrouve 1 équation de continuité : 282. — Il y a une remarque à faire. Une molécule électrique situé à l'intérieur d'une sphère de Mossotti est soumise a une force électrostatique dont la composante parallèle à O.rest : On peut s'étonner de voir que sa force n'est pas la dérivée du tiel varier suivant une courbe telle que la courbe M'Y de la figure 8 ; cette courbe présente des sinuosités. La fonction définie par les équations du n° 276 est au con- traire continue ainsi que toutes ses dérivées ; ce n'est qu'à cette condition qu'elle peut être introduite dans les calculs avec avan- tage; cette fonction , qu'on pourrait appeler potentiel moyen,