pas (voir première partie, n° 47). Soient+m et-m les masses des deux sphères ; soient x1, y1, les coordonnées du centre de la sphère positive ; x2 = ^ — ç,y2=y1—r1, zt=-, — £ celles du centre de la sphère négative. Alors ç, , ont la même signification qu'au début du paragraphe. On a pour la composante parallèle à 0.r du courant dù au déplacement relatif des deux sphères : 281. — Le potentiel électrostatique <p est dÙ à l'électricité ré- pandue dans les conducteurs et à celle qui polarise les diélec- triques : ceux-ci se comportent comme des aimants. On a donc en appelant a- la densité au point (.r, y, . z) du conducteur. Dans cette équation,la première intégrale représente le potentiel du à l'électricité libre des conducteurs, la seconde le potentiel dû à l'électricité polarisée dans les diélectriques. D'ordinaire il n'y a d'électricité libre qu'à la surface des
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