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' . 676 TABLE DE PLUSIEURS LETTRES . ADRESSES SUJETS DES LETTRES DATES. LIEUX DE LA DATE. BBS LETTRES. BT SOURCES. roi d'Angleterre. Malheureusement la con- duite du roi Jacques n'est guère Favorable à cette intention. Cop.- B. N. Fonds Bricnne, Ms. 39, fol. S28 VOITU- 1603. l3 septembre. Dives. A M. Miron, Ordre de faire arrêter Robert Basset, qui com- plote contre le roi d’Angleterre. (Lettre interrompue par de fréquentes lacunes.) Cop. — Musée britannique, bibiioth. Cotto- nieune, Caligula E, L 10 . fol. 294. 15 septembre. Caen. A M. de Brèves. L'Empcreur paraît disposé à faire la paix avec lo Sultan ; mais, comme il a précé- demment refusé la médiation du Roi, ce- lui-ci ne juge pas il propos de s’y employer de nouveau, d'eutaut que, s'il montrait de Yempressement, l'Empereur pourrait l'¤t- trihuer a des inspirations provenant du Sultan, qui se déüerait de ses propres forces. Les impériaux ont re ris la Transylvanie. Le roi d’Espagne a gît passer une armée en Barbarie. Si le Sultan ne veut pas faire une paix honteuse, il doit exécuter quel- ' que entreprise importante. Le chiaoux en- voyé par le Grand Seigneur est arrivé a Marseille ; le Bei a donné ordre qu'il y fût entretenu jusqu'au voyage de S. M. en Provence, qui doit avoir lieu prochaine- ment. La guerre des Pays-Bas empêche la maison d'Autriche de réunir ses forces contre les Turcs, et ceux-ci n’ont point remporté d’avantage considérable. Le roi d’Espagne recherche l’alliance du roi d'An- gleterre ; mais, quoi qu’il lasse, il ne pourra faire déposer les armes aux Pays- Bas. Les pirateries des Anglais ne peuvent ` être réprimées que par la force ; e Roi y pourvoxra pendant son séjour à Marseille. Le Grand Seigneur ne doit pas dédaigner l'avis qui lui est donné du passage des ' troupes espagnoles en Barbarie ; si le Si- gal paraît sur ces côtes avec ses galères, les Espagnols se retireront. Orig. (En uhitîres.) - B. N. Fonds Béthune, Ms. 9021, fol. Bâ. - Cop. Ms. de M. Mon- marqué. 17 septembre. Ibidem. A M. de Fresnes-Canaye. Précautions ix prendre avec le duc de Savoie et le comte Martinengue. On n'a pas en- core avis que le duc de Savoie ait fait re- ` mettre au grand écuyer et au président Jeannin le misérable qui avait offert d'as- sassiner le Roi. (Voir les lettres du 24 et du 25 août.) Ses dépositions ne sont que des impostures, car il nomme comme complices Cles personnages imaginaires. -- llopousc détaillée a divers points des lettres de l'am- ( bassadeur : sur un traité des Vénitiens avec les Grisons ; - sur un Anglais envoyé à Venise par le roi d’AngIeterre ; sur les ' intrigues du pere Personius ; — sur la mort et le remplacement de l’évêque de Vicence ; — sur les dillérends de la répu-