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LETTRES MISSIVES


verray, et prendray, avec vous resolution sur le tout. .l’avois commendé à M' de Villeroy, lorsque _j'avois si mal aux dents, de vous escrire par Arnault de plusieurs choses qui importoient à mon service, à quoy vous ne m’avés laict aucune response ; de quoy je mlestonne. Bon jour, mon amy. Ce xixe octobre, à Fontainebleau.

HENRY.

160li. — ig ocromm. — II". i Cop. — B. N. Fonds Béthune, Ms. 8959, f`0l. li, eI :Suppl. fr. Ms. 1009-3. [AU CARDINAL ALDOBBANDIN.] _ Mon Cousin, Mon ambassadeur m'ayant adverty de ce qui se passe par delàl, j’ay bien voulu vous ramentevoir sur ceste occasion llestat que vous devés et pouvés faire de mon amitié ; vous asseurant que je me ressens si redevable à Sa Sainctete de celle qu'il m’a tes- moignée, que toute la puissance que Dieu n1°a donnée sera toujours employée tres volontiers pour vous assister et proteger au besoin que vous en aurés, comme vous dira plus particulierement mon dict am- bassadeur, au uel `e vous rie d'ad’ouster en cela telle fo ue vous q J P J Y ll feriés à moy-mesme, qu1 prie Dieu, mon Cousin, qulil vous ayt en sa saincte garde. Escript à Fontainebleau, le XIXC jour d’octobre 1 ôoli. HENRY. 160li. —— 26 ocrosnr. — I'°. ` Orig.— Arch. de M. de Couhé Lusignan. Copie transmise par la Société des Antiquaires de l'Ouest. A MONS“ DE FRESNES CANAYE, coxsmrmzn mv mos consmn i> Es1 A1 Mon Aimassimaim A vnmsn. Mons' de Fresnes, Duluurier partit hier pour retourner vers vous. Il ira à journée pour su commodité et uussy que je nuy pus estimé necessaire ' Voyez ci-après la lettre du 28 octobre tes qu’inspirait alors la santé du pape Clé- aux cardinaux français, au sujet des crain ment Vlll, oncle du cardinal Aldobrandin.