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i DE HENRI `IV. 851 occasions que vous le vouldrés employer, nonobstant toutes les im- ` pressions que Yon vous a voulu donner de luy au contraire ; lesquelles je vous prie de vouloir effacer pom l’amour de moy : ce que me pro- mettant, Dieu vous ayt, Madame, en sa saincte garde. Ce xxif sep- tembre, devant Amiens. " ' HENRY ; . ‘ 1597. — 2 2 SEPTEMIBBE. — II“‘°. Ii Imprimé. — Mémoires de messirc Philippes de Mornay, t. II, p. Sltâ. [A M. DU PLESSIS.] i _ _Mons' du Plessis, Nous avons recouvert Amiens, par la grace de Dieu et llassistance de tant de gens de bien qui m’y ont servy. Il faut à present recouvrer la Bretagne, et tourner de ce costé—1à nos vœux, nos forces et tous nos moyens, avec nos personnes et nostre sang. Voilà mon desir, voila ma deliberation, et vous asseure que ce sera ‘ ma resolution, si chacun m’y veut ayder vertueusement, comme je suis asseure que vous ferés volontiers de vostre costé ; car le pays se perd et ne peut estre sauvé que par ce remede. J e remets le reste à la lettre que j’escris presentement au s' de- Schomberg : et prie Dieu, Mons' du Plessis, qu’il vous tienne en sa saincte garde- Escript du camp devant Amiens, le XXI ]° jour deseptembre 1597. HENRY. ` i ou wnurvxttm. 1597.- 25 SEPTEMBRE. — I". Imprimé. — Mémoires de la Ligue, t. VI, p. 521 ; et Vie militàiri : èrprivée de Henri I V, p. 238. I X A [A M. DE LA GUICHEÃ] i i _ Mons' dela Guiche, Les Espagnols sont sortys de ma ville d’Amiens _ au matin, suivant la capitulation que je leur avois accordée ; le car- ‘ Les Mémoires dela Ligue donnentà à monsieur de la Guiche, chevalier des cette lettre le titre suivant : Lettre du Roi deux ordres de Sa Majesté, conseiller en _ lO7.`