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reins, Sariac s’approche de lui avec un stylet à lame écossaise et le lui enfonce dans le dos jusqu’à la garde. Le duc de Guise ne peut plus se soutenir, et il va mourir sur le lit du roi son assassin.

Il fallait donc que ce lit si honteux, témoin des débauches des rois, vît mourir en un seul homme toute la gloire d’un siècle !

Quelques minutes après, quand le cadavre fut froid comme le marbre, quand les épées et les poignards furent retirés, alors Henri entra pour contempler sa victime ; il lui donna un coup de pied à la tête en lui crachant au visage.

Un instant pourtant, ayant bien considéré toutes ces plaies profondes, cette terrible et mâle figure et dont les yeux ternes et livides semblaient lui reprocher son crime, oui, un instant, Henri trembla devant le cadavre du duc de Guise.