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C H A V 1 r H K V Le Catholicisme

L'.\RIST()(^.nATIK KT LA RELIGION. — l'ÉMANCIPATION nr .IKLINKAGK. — RETOUR AUX CROYANCES CATHO- LIQUES PAR RESOIN d'autorité. — LE RESPECT DES CHOSES RELIGIEUSES, l'aDIIÉSION AUX DOGMES, l'accord DE LA KOI ET DE LA PRATIQUE.

LE CATHOLICISME IMMANENT WU/IC ViciUo

Maîti'csse. — le dogme et la morale. — l'absolutisme des P/'op/t('lns du Pa.^sr et le libéralisme religieux. — LE satanisme: ingé- rence DU démon dans les affaires humaines.

— <( LA superstition )). — (( LA CLARTÉ DU christianisme ». — LE CATHOLICISME PASSÉ DANS LE SANG.

Un aristocrate n'est pas nécessairement un homme religieux. Il trouve un surcroît do force et d'appui dans la rig-ide économie des dogmes ; mais, s'il est person- nellement bien convaincu de la valeur et de la pérennité de ses droits, il n'a pas besoin, pour les faire triompher, d'invoquer le secours d'une autorité e.xtérieure a la sienne. Ilsesuflità lui nirme. L'aristocratie du X VHP siè- cle, aussi inflexible sur le chapitre de sa précMuinence sociale que l'aristocratie du siècle précédent, était incré- dule aux enseignements de l'Eglise : elle se disait