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— :r l'accusalion do jalmi- sio qu'il rodoiilail taul. car il savail l)ioii l'ollol ([iio pio- duicail sou arlicl(\ M. do l'oidiiiarliii ajoulail ascc un foi M i(| 110 irro.sislil)lo:*' Jaloux do M. liarlioy irAiirovilly ?... Mon liiiiiiililo 110 va p.'vs jusquo-la. // Pauvre M. iU' 1*omI- niaiiiu ! o'osl ainsi (pi'il a loujonrs onloiidii la <-rili(pio lilloraii(>. .

Pou ilo mois apros, «mi docouiWi'o ISS'.i cl ou janxior 1S*.»(), les h'/Hi/c.s t.h's l{\\. W. Josuilos puhliaioul un lou^' ot p;ilou\ ossai «iiM'riticpu^ sur Ttouvrc ûo lîarltoy d'Au. rovilly. Lca deux arliclos, sigiiôs: Kl. Cumul (1), foruuMil un onsoinblo do soixante pag^es. C'est assez pourjug:cr d'une nianioro équilable, sinon coniplolo, tous les travaux de réorivain noruiand. Or, voici coumiont procède le Pèro Connil. Il prend l'un après l'autre les six premiers volumes où d'Aui'ovilly inaugura ses fonclioiis d'arhilro dos lotlres : il les analyse vaille que vaille, los loue ou les blâme selon ses convenances personnelles, redrosse ou condamne telle conclusion qu'il croit excessive ou fausse, appuie de son autorité tel verdict qu'il estime bon . D'Aurevilly commenté, corrig-é et expurgé par le K. P. Cornut : cela, en vérité, no manque pas de charme iC^iuml

fl) Le R. I'. i'A. CdHNLT est l'aird'ur iTiiti livre inliliilr : Les Malfuilcitrs littéraires, l'.irmi ces « in;rlriiileiirs » Je l;i lillératiire, un ;i rémuuviinti; siirprise île reiiroiilier... M. lirutielière ; el l'on est !«utri>(|uô ilf; trouver ee nom â deux |ta8 celui tle... Gliarles n.iuilelaire : serait-ce la revaneltc ihi poêle (les Fleurs liu Mal, — une venjjcanee il'outre-tonilie contre les injustices du critii|Ue de la Hcviie des Ueu.v-Mondvs '.' Il ne niani|iie (|ii( llarliey d'Aurevilly à l'asscrntiiée des exconiinniilés, de» réprouvée du l'ère Cornnl. Cet honneur était liien di'i a l'a|iu|ouis(f îles Jésuites. Pouri|noi lui a-l-il été refusé ?