des bureaux de location assaillis par des queues qui n’en finissaient pas, stationnait une population de gamins souples, de gymnastes en herbe, s’exerçant anonymement dans les carrières des environs de Paris, venue aux nouvelles et les attendant aux portes.
Sous les clartés tranquilles du gaz, dans leurs petits cadres de fonte, sur de belles affiches jaunes à l’impression toute fraîche, se lisaient en immenses lettres :
À l’intérieur du Cirque, sous la grande frise étrusque déroulant autour de la salle les exercices gymnastiques de l’antiquité, sous un premier plafond orné de trophées de boucliers, traversés de piques et surmontés de casques, sous un second plafond représentant, en des médaillons jetés sur des rideaux entr’ouverts, des chevauchées d’amazones