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hokousaï

avec une retraite du corps du plus joli contournement.

Un sourimono représentant le plus pustuleux de tous les crapauds.

Un grand sourimono d’une facture surprenante : un store à moitié relevé sur une branche en fleur, dont une partie se voit obombrée, à travers le tissage du store.

1800


Une série de quinze sourimonos : L’enfance des personnages.

Une série de sept sourimonos : Les sages des bambous, de vieux sages représentés par des femmes modernes.

Une série de vingt-quatre sourimonos, intitulée : Piété filiale, parmi lesquels un charmant dessin d’une femme lavant, le haut du corps nu, et dont le torse est tout étoilé des pétales d’un prunier en fleurs, secoué par le vent au-dessus de la laveuse.

Une série des douze mois de l’année, représentés par des femmes, où est un gracieux dessin de fillette japonaise frottant un plancher, et que regarde paresseusement sa maîtresse.

Trois musiques représentées par trois musiciennes.