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occupent son esprit après qu’il a été sauvé de la situation la plus périlleuse, précisément par ce qui semblait devoir précipiter sa perte : c’est-à-dire un déluge d’accusations d’une nature et d’une complication sans exemple et un emprisonnement arbitraire[1].

  1. Nous répétons ici ce qui a été expliqué dans la note qui termine la partie de l’introduction mise en tête de ce volume : c’est qu’à partir des premières lignes du discours prononcé par le général-gouverneur, il n’existe plus rien de Gogol, rien du moins qu’il ait rédigé lui-même. Le chant qu’on va lire est, en très-grande partie, comme il a été dit dans la même note, emprunté au volume publié à Kief, en 1857, par M. Vastchénko Zakhartchénko sous le titre de Continuation et achèvement des Âmes mortes.