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l’Auvergne. Il y rejoignait ceux de ses amis qui, parmi tous, avaient été les plus constamment dévoués, les plus étroitement unis à lui d’esprit et de sentiments. C’est grâce à eux, pendant ses dernières années, que sa pensée jouit d’un peu de calme et que sa santé fut entourée de soins affectueux.

Mais le froid d’un automne pluvieux le glaçait. De jour en jour il demandait en vain un rayon de soleil. Le 11 octobre, il partait pour Pise ; le 13, une mort subite et imprévue arrêtait en quelques heures ce noble cœur qui n’avait jamais battu que pour le Bien et le Beau.

B.

Paris, 1883.