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Scène V.
HENRIETTE, HENRI.
Henri, revenant.
Choisissons un endroit propre à notre repas,
Afin que les fâcheux ne nous dérangent pas.
Vive Blondine ! c’est la maîtresse idéale.
Tu brilles sur son front, aurore boréale !
Et tout l’azur du ciel dans ses yeux est enclos.
Vive Blondine !
Henriette pleure ; on entend un léger hoquet.
Une femme qui pleure ? Elle est seule. Pauvrette !
Son chagrin passera. Je ne sais qui m’arrête
Auprès d’elle.
La reconnaisant.
Henriette !
Henriette, avec un cri.
Ah ! mon Dieu ! te voilà !
Henri.
Dire que tout ceci pourtant m’ensorcela !
Ô ma raison !