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situations, et dans la vérité des sentimens et des caractères.
Je n’ai point eu la témérité de refaire Bélisaire ; mais sur un fonds historique qui appartenoit à tout le monde, j’ai fait un ouvrage qui n’a rien de commun avec celui de M. Marmontel. Son roman politique restera entre les mains des hommes d’état ; le mien, peut-être, amusera quelques instans les loisirs des femmes et des gens du monde, et c’est assez pour moi.