Page:Geffroy – Hermine Gilquin, 1907.djvu/140

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

noisement, faisait peser sur elle l’affreuse inquisition de l’enfance perverse. Hermine était de trop dans la maison où elle était née. Elle commençait à comprendre son sort avec précision, et si peu habituée qu’elle fût à prévoir son lendemain, elle se disait que sa vie ne pouvait durer ainsi, et qu’il lui fallait s’en aller. Mais où ? et comment ? Cela, elle ne le savait pas encore avec précision.