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tous ses griefs contre M. D***, et pour déplorer le sort de sa sœur et de ses neveux.

Quinze jours après mon entrée dans cette maison, M. D*** succomba à sa maladie. Je n’entrai pas un instant dans sa chambre, et ce fut encore l’obligeante sœur de madame D*** qui, à la nouvelle de cette mort, vint me chercher pour m’en apprendre les détails. Voici à peu près ce que cette dame me confia en me répétant de nouveau toute l’histoire de l’impitoyable beau-frère.