Page:Galopin - Mémoires d'un cambrioleur retiré des affaires, 1922.pdf/383

Cette page a été validée par deux contributeurs.
383
retiré des affaires

Devant la porte, je me recueillis un instant, puis je frappai.

Ce fut Pickmann qui vint m’ouvrir.

— Ah ! Colombo… mon cher Colombo, s’écria-t-il, quoi de neuf, ce matin ?

Sans répondre, je fermai la porte au verrou, puis tendant à Pickmann la carte d’Allan Dickson, cette carte que le grand détective m’avait remise naguère à la station de Waterloo, je prononçai, d’un ton solennel :

— Richard Stone… au nom du Roi, je vous arrête !