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retiré des affaires

Et il s’en alla navré, après un grand geste de suprême miséricorde…

Le lendemain, je le faisais appeler… C’était le seul être humain avec qui je pusse causer et si sa présence et ses lectures m’étaient pénibles, son absence l’était davantage encore…

Il me fallait quelqu’un à qui me raccrocher, car je sentais bien que si je ne voyais plus personne, j’allais finir par me tuer…