un diviseur de H, ne dépendra [plus que d’une][1] équation du nième degré.
On peut ramener à ce cas celui où on supposerait plusieurs fonctions connues.
Premier cas. Quand le groupe appartenant à la fonction connue est réductible. Cas où une seule permutation lui appartient.
2e cas. Quand le groupe appartenant à la fonction est irréductible non primitif.
3e cas. Quand le groupe appartenant à la fonction est primitif m étant premier[2].
4e cas. Quand le groupe appartenant à la fonction est primitif et que
5e cas. Quand le groupe est primitif étant premier ou le carré d’un nombre premier[3].
Ce qu’on entend par l’ensemble des permutations d’une équation.
- ↑ Les mots mis ici entre crochets sont barrés ; au reste tout ce passage, à partir de « Du cas ou » jusqu’à « plusieurs fonctions connues » est couvert de ratures et de surcharges ; on lit, par exemple, sous une rature : « Si D est le commun diviseur à ce groupe et à celui de la fonction supposée » ; tout ce passage est un renvoi placé au bas de la page, de façon à être substitué à trois lignes qui sont barrées, et dont voici le texte :
Du cas où une fonction des racines est censée connue.
Remarque. On peut réduire à ce cas celui où on supposerait plusieurs connues.
- ↑ Au-dessous en interligne :
Jusqu’ici on avait cru - ↑ Les deux fragments qui suivent sont sur l’autre face de la feuille ; ils sont séparés par un blanc laissé au milieu de la page ; au-dessus de l’avant-dernière ligne du premier passage et dans le blanc, on trouve les mots suivants dont le premier est couvert d’une rature et dont les autres sont bâtonnés ; la lecture du mot Présenté est douteuse.
Mémoire sur la théorie des fonctions et sur celle
des équations littérales. Présenté à l’Institut parÉ. Galois.
Octobre 1829.