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Tes chaînes tombent à mes pieds : au bruit de chaque anneau je pleure davantage cet exil, qui me perd d’autant plus qu’il m’éloigne de toi.
Quand donc viendra ce jour, ô séraphique femme, où, seulement par méprise, tu viendrais délier de tes mains de cristal ces nœuds de fer ?