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liQ-, , TABLE ANALYTIQUE.

AsUe. O que c'était à Rome, 153, 279.

ABfiemblèes du peuple. Elles commençairrit ptr nne prière et un acte sacré 1S9, 190, 391. Assemblées par curies, 21i, 137. Assemblées par centuries, corn» nt on y Totait, 215, 296, 381 ; l'assemblée cetiluriale n'était pas autre chossque armée, 341-S'i2. Assemblées par tribus, 353. Assemblées athéniennes, 391-393.

Athènes. Formation de la cité athénienne, 14fr-ll8, J87-289; «uvre de Thé- sée. 287, Î38 ; royauté primitive, 206, 20S ; arisiocratie des Eupalrides, 271, 286; abolition de la royauté politique, 2S9; domination de l'aristocratie, 389, 297-398, S13-31S; archontat vTager, et-«rchontat annuel, 290, 291; l'archonte-roi, 291. Ca- ractère athénien, 360 et BuiT., 390,402; superstitions athéniennes, 261-263. Tentative deCylon, 331 ; œuvre législative de Dracon, J70; œuvre de Solon, 315-316, 331, 371-375,377; Pisistrale, 333 ; œuvre de Clisthènes, 334-337. Domination de l'a- ristocratie de richesse, 381-3S3; progrès des classes inférieures, 384 et suiv. Les magistratures atbéniennes, 388-389; l'assemblée du penple, 391-393; les orateurs, S93; l'armée athénienne, 383; caractère de ta démocratie athénienne, 402, note.

'Aiii^ia, perte des droitg civils, politiques et religieux, 232-333:

Anaploes. Mode d'élection des magistrats par les auspices, 2i4 7iû; é»- vienneul une pure formalité, S80.

Calendrier cbei; les lacitot, t85.

Camille, préseoti comme type da guerner-prltre, 357-359.

Célibat, interdit ptr la religion, 11, 100; interdit par les lois de Sparte et de Rome, 51, 265-266.

Cens, recensement, lustration, cérémonie religieuse dans les cités anciennes, l86-!83. Transformation dn cent par Servius, S39-344.

Censeurs. Origine et nature de Is.nr pouvoir, 1S6; leurs fonctions religieuses, 313. Ch«wdlM«, eUsst amtocratiqae, Ml-MS;eD Eobés, 373; i Rome, S40-S4I

$31. Cbiiatlanlsma , son action s«r Im idées politiqass at âar le gouTernement

des société», 'iS&-4«4.

Cité Li :ilé se forme par l'association des tribus, des curies, des génie*, 14^ et suiv. Elle est uns confédération, 144. Exemple de la cité athénienne, 146-I4k Religion propre à chaque cité, 166 et suiv. Ce que l'on entendait par l'autonomie de la cité, 240-2^4. Pourquoi les anciens n'ont pas pu fonder de société plus large i)Oe la cit^, 238-240. Puissance absolue de la cité sur le citoyen, 265 et suiv. ÂÏÏaiblissement. du régime de la cité, 433 et suiv. La conquête romaine détruit le Vgime municipal, 440 et sniv.

Citoyen. Ce qui distinguait le citoyen du non-citoyen, 397-313, (4&-447. Comment t'acquérait le droit de àti i Athènes, 339.

Clleats. Ce que c'était à l'origin*, 138-lSO, 273-376; — éUient distincts des ^ébéiens, 377-278, S07 ; leur condition, 27J et suiv., S07; ils figuraient dans lea eomices par curies, 275; leur analogie avec les serfs du moyen âge, 307-308; leur affranchissement progressif, 306, 310 et suiv.; ils deviennent peu à peu proprié- bires do sol, 308, Sl3; comment ils le sont devenus à Athènes, 312-317; com- ment ils le sont devenus à Rome, îi7, 330; disnarilion de la clientèle primitive, 112, 331-333; le patriciat essaye ea vaia de la rétailir, 34V-S45. Clientèis des r.ffe = ^stérieurs, 317-131.

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