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iv
PRÉFACE.
avoit été déjà traduite en français, et même d’une manière soignée. Malgré cela, j’ai osé entreprendre de la traduire de nouveau.
L’Éditeur anglais a joint à ce qu’il a pu se procurer du manuscrit de Franklin, la suite de sa Vie, composée à Philadelphie. J’ai été assez heureux pour pouvoir ajouter à ce que m’a fourni cet Éditeur, divers morceaux qu’il n’a point connus, et un second Fragment des Mémoires originaux[1] : mais j’ai encore à regretter de n’avoir pas eu tous ces Mémoires, qui vont, dit-on, jusqu’en 1757. — On ne sait pourquoi M. Benjamin Franklin Bache[2], qui les a