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LE MANUSCRIT.


Le manuscrit de Bouvard et Pécuchet est une mise au net de la main de Flaubert. Il comprend 215 feuillets, écrits d’un seul côté, paginés 1 à 215 jusqu’à la fin du chapitre IX. La partie écrite du chapitre X n’a pas été mise au net.

Nous trouvons à la fin du manuscrit le plan du chapitre X, il se compose de 4 feuillets ; puis la dernière ébauche inachevée de ce chapitre, qui comprend 35 feuillets, dont quelques-uns écrits au recto et au verso.

La partie du chapitre X publiée n’a donc pas reçu sa forme définitive, car, habituellement, de la dernière ébauche à la mise au net, Flaubert modifie encore sensiblement, sans compter que ses manuscrits définitifs comportent encore des corrections.