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férent et plus accessible au public lettré, pour lequel les questions théologiques n’ont qu’un intérêt très relatif. Il va de soi que celle-ci doit beaucoup à celle qui l’a précédée et ne prétend pas en tenir lieu pour les lecteurs qui s’intéressent particulièrement à la dogmatique bouddhique[1].
Même allégé de ses impedimenta scolastiques, ce texte reste un peu austère. Mais il est tout illuminé par les images dont l’a embelli le burin de Mlle Henriette Tirman, si heureusement inspiré par une étude consciencieuse de l’art bouddhique et par les conseils du parfait connaisseur de l’art hindou qu’est M. Victor Goloubew[2].
L. F.