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la morte fiancée.
d’une manière suivie ; cependant je sais bien que lorsque l’horloge a sonné onze heures trois quarts, j’exhortois, à cette même place, Libussa à danser avec un peu plus de modération. »
« Et Marino ? » demanda le comte.
« Je croyois, comme je l’ai déjà dit, le trouver ici. »
« Bon Dieu ! » s’écria la mère, « elle extravague ; mais lui, où est-il donc ? »
« Quoi donc, ma bonne mère ? » dit Libussa d’un air inquiet, en s’appuyant sur la comtesse. Cependant le comte prit un flambeau, et me fit signe de le suivre.
Un spectacle affreux nous attendoit dans