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la morte fiancée.
voilà pourquoi je m’y suis glissée tout doucement. »
« L’y as-tu trouvée ? »
« Hélas ! non ; mais le vif désir que je ressentois de la voir, joint à la fatigue de la danse, m’avoient tellement épuisée, que je me suis assise sur une chaise, où je me suis profondément endormie. »
« Depuis combien de temps as-tu quitté la salle ? »
« L’horloge de la tour sonnoit onze heures trois quarts, lorsque je suis entrée dans la chambre de ma sœur. »
« Qu’est-ce que tout cela ? » dit tout bas la comtesse à son mari ; « elle parle