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l’heure fatale.

« Tandis que je faisois ces réflexions, je fus prise d’un véritable frisson de fièvre dont je ne pus nullement imputer la cause à la température de l’air. Mes yeux se portèrent, par hasard, sur les arbres en fleurs ; et la clarté singulière que j’avois vue pénétrer par la porte de l’appartement le jour de l’enterrement de Séraphine, me sembla reposer sur ces arbres, et lancer ses rayons vers moi. L’allée où je me trouvois, étoit la promenade favorite de Séraphine.

« Cette pensée m’inspira le courage de m’approcher, parce que j’espérois rencontrer sous ces arbres l’ombre de ma sœur. Mais mon espérance ayant été deçue, je rentrai dans la maison d’un pas tremblant.

« J’y trouvai beaucoup de choses extraor-