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la morte fiancée.
tesse, nous enseigner votre art merveilleux de toujours gagner ? »
« Ce seroit bien difficile, ma belle dame ; il faut, pour cela, une main heureuse, autrement on ne fait rien. »
« Mais, » reprit le chevalier, en riant, jamais je n’en ai vu d’aussi heureuse que la vôtre. »
« Comme vous êtes encore jeune, mon cher chevalier, beaucoup de choses nouvelles pourront vous arriver. »
En disant ces mots, le marquis jeta sur le chevalier un regard si perçant, que celui-ci s’écrià : « Voulez-vous donc tirer mon horoscope ? »
« Pourvu que ce ne soit pas aujourd’hui, »