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meure la même. En fin de compte on aboutit aux équations

avec


et sont des constantes d’intégration.

Comparons ces équations aux équations newtoniennes du mouvement elliptique

avec

On voit que représentant le temps propre de la particule, les nouvelles équations ne se distinguent des anciennes que par l’addition d’un terme supplémentaire en .

B. Le mouvement du périhélie de Mercure.

On n’a pu expliquer jusqu’à Einstein ce déplacement. Suivant une méthode facile et qui avait fait ses preuves, Le Verrier l’avait attribué à une certaine planète qui fut par contumace baptisée Vulcain ; mais Vulcain n’a jamais paru. L’ingéniosité des astronomes trouve là une excellente matière à exercices. Tisserand proposa l’addition d’un terme additionnel, d’autres envisagèrent le changement du coefficient de la for-