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INTRODUCTION



NOTES SUR LE BOUDDHA[1]


Ces petits récits sont des contes hindous. Ils ont été conservés dans des versions chinoises en prose. Les plus anciennes que l’on connaisse remontent au IIIe, et la plupart au Ie siècle après J.-C. C’est une traduction fidèle de cette version chinoise que nous avons tenté d’adapter ici[2]. Puisque, dans ces contes, il est souvent fait allusion au Bouddha, il n’est peut-être pas inutile, du

  1. D’après le livre de H. Oldenberg intitulé « le Bouddha » traduction de A. Feneber et d’après l’ouvrage de A. Feneber : « Les bas reliefs gréco-bouddhiques du Gandhara. »
  2. Les sujets de ces fables sont empruntés aux volumes intitulés : « Cinq cents contes et apologues » traduits en français par Édouard Chavannes. — Leroux, éditeur, 28, rue Bonaparte.