Page:Fabié - Fleurs de Genêts, 1920.djvu/95

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Pardonne à l’un de ceux que tes beautés enchantent,
Qui t’aime dans tes monts, tes plaines et tes bois,
Tes douleurs d’aujourd’hui, tes gloires d’autrefois,
De te chanter, un peu comme nos pâtres chantent,
Avec beaucoup de coeur, sans art, à pleine voix.