Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 4.djvu/357

Cette page n’a pas encore été corrigée
342
LES AMOURS

342 LES AMOURS arme que la menace de dévoiler l'assassinat. Or, c'était là une mesure désespérée, tout à fait dans son rôle sept ans auparavant, lors- qu'il avait tout à gagner, mais qui, dans sa brillante position actuelle, devenait, de sa part, peu probable. Il parlementerait; de vaincu, le duc se fe- rait dominateur; et quand une tète se courbe durant sept années, comme elle se redresse avec volupté!... C'était un espoir,-un espoir si doux que le due tremblait de le voir renversé par quelque démarche utile du marquis ; et il tremblait davantage à mesure que Je moment fatal approchait. signt