Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 4.djvu/282

Cette page n’a pas encore été corrigée
267
DE PARIS.

DE PARIS. 267 "dit ce dernier;-il s'agit d'un coup de vi- gueur... Le due s'arrèta.- Denisart crut ferme- ment qu'on allait lui demander un assas- sinat. Or, Denisart n'avait point les qualités d'un bravo. Il se prit à trembler de tous ses mem- bres. Mais le duc poursuivit : - Mon prétendu parent, j'en suis sûr, n'i- gnore pas plus que moi où nous en sommes... Il a ses avocats comme j'ai les miens... J'ai peur de quelque tour de son métier... De plus, il m'est revenn qu'un anonyme, cachant