Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 4.djvu/24

Cette page n’a pas encore été corrigée

DE PARIS. sourire. Une lueur était sous sa paupière baissée. Elle secoua la tête indolemment. - Pauvre fille !..murmura-l-elleavec pitié; - voilà que je me souviens, à l'heure où il faut oublier... Il n'est plus à nous, ce grand nom de nos aïeux... et pour tombe, Gaston, - le chef, -n'aura qu'un peu de terre avec une croix de bois où manquera la couronne ducale au dessus de l'écusson séculaire... Ab!... Dieu nous doit beaucoup dans l'autre monde !... Cette parole, qui dans une autre bouche eût été un hardi blasphème, tomba simple et