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LES AMOURS

210 LES AMOURS meur les manoeuvres de sa diplomatie bour- geoise. Les généralités sont des sottises,- mais défiez-vous des bons gros garçons sans fiel. Durandin avait l'idée fixe d'acheter un vieux château pour le badigeonner à neuf et mettre aux fenêtres ogives de gentilles persiennes vertes. Cette ambition remplissait son åme et en- flait démesurément ses mémoires de procé- dure. Sa femme lui avait apporté cent trente-cinq mille franes de dot et des espérances. Elle avait six ans de plus que lui, trois fausses