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LES AMOURS

192 LES AMOURS On a va, il est vrai, de ces terribles trafi- quans de tendresse briser du pied chaque femme qui servit d'échelon à leur fortune... Mais c'est dans les drames da boulevart qu'on a vu cela. Dans la réalité, cegenre d'hommes porte la peine de son industrie. Il est pusillanime, il est dominé.-C'est à peine si, dans l'échelle humaine, on peut le placer un cran au dessus dn mari d'une reine... Il se révolte contre l'instrument quelque- fois, il ne le brise jamais.-A moins qu'il n'ait aflaire à quelque faible créature, facile à tuer d'un seul coup. Ce n'est pas absolument fante d'énergie.