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DE PARIS.

DE PARIS, 183 Cette affection fut son unique soutien dans la vie. Car tous ces beaux réves que Charlotte avait faits s'étaient évanouis bien vite. Elle fut punie, la pauvre enfant, par où elle avait péché. Elle ne vit point ce monde vers qui s'étaient élancés ses désirs. Ces belles fètes devinées, ces promenades au Bois, ces luttes d'élégance et de coquetterie, ce luxe convoité, ces splen- deurs si ardemment souhaitées, tout cela lui échappa. Elle eut la solitude... La solitude tout près du bruit et de la foule, la retraite au bord des joies mondaines, car,