Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 4.djvu/133

Cette page n’a pas encore été corrigée
118
LES AMOURS

118 LES ASIOURS sions étranges dont la source n'est ni dans les sens ni dans le ceur. Les passions que la femme oisive et froide revèt pour se désennuyer s'éteignent, nul no l'ignore, au bout de quelques jours. Ceci, forsqu'elles sont partagées. Mais si l'amant, par fortune, se lasse lo premier, ces passions résistent et s'obstinent. C'est du dépit; c'est l'entêtement de l'amour- propre courroucé; e'est en un mot assurément tout autre cbose que de la tendresse; mais, chez la femme, est-il un sentiment qui ne sache prendre les allures de l'amour ?... Madame la duchesse avait trouvé dans ses