Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 4.djvu/106

Cette page n’a pas encore été corrigée
91
DE PARIS.

DE PARIS. ou répéter adorablement une page de l'Ency- elopedie. Elles savaient par cenr d'Alembert, et s'endormaient en tàchant de comprendre Helvétitis. Hoom.hute nldendemal Il y avait alors des jeunes filles de qua- torze ans qui étaient athées, et les plus peu- reuses admettaient, par prudence extraordi- naire, l'existence d'un Dien inconnu:-l'Etre suprême. Mais, à part cette démence qu'excitait, sui- vant l'image sublime du poète, l'effrayant éclat de rire de Tollaire, il y avait dans l'air un vent de recherclhe et de travail qui faisait jaillir ça et là de grandes et fecondes idées. Le monde étourdi et frivole accueillait sans choisir le bóa et le manvais. Nal ne prétait