Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 1.djvu/63

Cette page n’a pas encore été corrigée
51
DE PARIS

Rotonde, en tournant un œil de regret vers la foule enivrée, et poussa droit au perron.

Le duc fit un geste de violent dépit.

– J’ai attendu sous l’orme ! se dit-il...

Mais, comme il allait, à son tour, mettre le pied dans la galerie, une main légère se posa sur son épaule.

Il se retourna et demeura immobile d’étonnement.

La main gantée de frais qui venait de le toucher appartenait à une femme admirablement belle, et parée avec un goût exquis.

Le duc n’eut point le temps de lui parler. – Elle poursuivit sa route d’un pas rapide,