Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 1.djvu/188

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
176
LES AMOURS

Le chien dressa l’oreille en entendant son nom.

– Un jour, par pitié ! dit encore la marquise.

– Un jour ! répétèrent les trois jeunes filles qui entourèrent M. Polype, les mains jointes et les larmes aux yeux.

– Entendez-vous ! reprit Gaston, dont la prunelle brûlait et qui comprimait à deux mains les battemens de sa poitrine haletante ; – on vous prie… on pleure… Un jour… un seul jour ?

Le principal locataire haussa les épaules.

Gaston, l’œil en feu, la tête perdue, s’élança