Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 1.djvu/184

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
172
LES AMOURS

– Vous ne ferez pas cela, monsieur ! s’écria la marquise dont les sanglots éclatèrent

Le petit homme la regarda d’un air étonné.

– Qui donc m’en empêcherait, ma bonne dame ? demanda-t-il.

– Vous aurez pitié…

– Peuh !… connais pas.

– Vous savez, monsieur, dit Gaston avec cette lenteur de l’homme qui met toute sa force à contenir sa colère, – vous savez que nous attendons d’un instant à l’autre les pièces qui feront cesser l’indigne spoliation dont nous sommes les victimes, et que l’heure