Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 1.djvu/177

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

rière en s’animant, – assis et le chapeau sur la tête ?

– Apparemment… grommela Polype, baissant les yeux toutefois sous le regard froid et fier de la vieille dame.

– Ma mère, je vous en supplie, dit tout bas la marquise ; – ne l’irritez pas ?

– Taisez-vous, madame ma bru, s’il vous plaît !… Cet homme sait-il qui je suis ?…

– Quelque folle !… marmota encore Polype.

La vieille dame redressa tout à coup sa longue taille. Son œil terne eut une étincelle superbe.