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l’ombre où il s’était tenu jusque alors à l’écart, silencieux, l’œil baissé, faisant effort pour garder son sang-froid. Son regard se fixa sur le visage souriant de Polype, avec une expression de douleur profonde et menaçante…
Il fit un pas vers la table.
– Monsieur, dit-il tout bas et en tâchant de se contenir encore, – mon père sommeille…
Polype releva sur lui son œil en bonne humeur.
– Ah ! vous Voilà, mon grand garçon !