Je m’en réjouis. L’ayant reçu, j’aurai conquis, entre tous les Phryges, la plus haute récompense de mon courage. Il ne te sied pas de me porter envie. D’autres dons sans nombre te réjouiront, toi qui es le premier de cette terre par le courage.
Le danger est grand et la récompense est grande. Que tu seras heureux, si tu la possèdes ! La peine est glorieuse. C’est une grande chose que d’être gendre des Princes. En ce qui concerne les Dieux, que Dika te regarde ! Pour les hommes, tu as obtenu d’eux le plus beau des prix.
J’irai, mais je vais, avant tout, vers le foyer de ma demeure, couvrir mon corps d’un vêtement convenable ; et, de là, je me rendrai aux nefs des Argiens.
Dis-nous quel autre vêtement tu veux prendre au lieu de celui-ci.
J’en prendrai un qui convienne à l’entreprise et à mon chemin furtif.