Page:Dumourier Pache - Correspondance durant la campagne de Belgique, 1792.djvu/17

Cette page n’a pas encore été corrigée
3

fti’îl cçmn^jindQÎt eii, Champagne ^ ti Ceïui ^’émtgvés^ qpi l’a Suivi ^’ans sa retraite. Quoique ce corps d’armée. de /ÇJairfeit.so^^^^ tr^s-déjâbré., ce seroît cependa/it un secours de 20 mille hçmriies, <ju[’U ^ut; quejç" t£che de prévenijr,p^,r I^. rapidité de ma marche. J’es^ pçrois pôuyofr ouvrir ù campagne le^iji maîf. les. troupe^, ^û]^-^tout la cayaierîèyont essuyé, un« marche si", pénibie , que ^je.’ suïs bblîné cfe’ leur doftner quel<jùe;B jours de plus de repos^, Çe.qi^ .n|[e ripti§n|:.encorç plus i^sseçrielleni^nt ijjaV.towt feireÀeVf’estJ’artillêrï^^ demandé au ministre de ta guer^^^ dV

chevaux jpo^j; être ren^u i Dôuay ayant 

le z6. Je ne peux pak partir, si je n’ai pas ce suppléaient; encore ne me servir a-^t-if que pour mon artillerie de campagne , et pour (juelqçes mortiers. Je serai obligé d’employer les chevaux du pays ppur, f artillerie de siège. Je n^" àt la vérité, aies conduire que vers. deux poinci trèfi-rappr!^çfee$^ Tpurnay jet Mons. Si les en-, nemis , après W pWse ou réyaçuation (fe ces deux places^ carie doute qulls ïeis soutien-* i|çntj se , rasspmolent dans le camp retranché de Bruxelles jçomm^ pn Je prétend , alors je; trouveraî dans la Belgique même. d’excéller(# éhevai^x po^^ iraîaer «ette,;^V9Ssë artalêrl^ir ’^ " ’ 'Ai ’ ' " ’*