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ment grâce et merci , comme faisaient nos anciens chevaliers, — peste ! le Français moderne est trop fier pour cela, « — mais en disant, — J'en ai assez, — distinction subtile qui tend à faire croire que le vaincu se retire, non pas parce qu’il reconnaît un vainqueur, mais parce que le jeu qu’il joue commence à l’ennuyer.

Si le... nous cherchons un mot pour ne pas dire vaincu, si le... terrassé prononce la phrase sacramentelle, son adversaire cesse de frapper à l’instant même, quelle que soit la haine qui l’enflamme, quel que soit le nombre de coups de pied qu’il ait reçu, quel que soit enfin son désir de les rendre. — Le J’en ai assez, — est un talisman su-