Page:Du Camp - Paris, tome 6.djvu/452

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

lités des indigents, 122. — Les filles-mères, 122. — Rapidité de l’action bienfaisante, 124. — la salle de distribution, 125. — Le domicile de secours, 126. — Le traitement des malades à domicile, 128. — Voyez Assistance publique.

Mœurs des Parisiens. — L’homme est partout identique à lui-même ; ses mœurs sont semblables : les usages seuls sont différents, VI, 286. — L’œuvre de la civilisation consiste à modifier les instincts et à en faire des mœurs, 287. — Paris est la cloaca maxima du monde, 288. — Dans toutes les capitales la corruption est la même : la forme seule change, 288. — Les femmes du monde interlope ou du grand monde qui dans des temps récents ont fait le plus parler d’elles étaient des étrangères, 289. — Les étrangers sont au moins de moitié dans la démoralisation qu’ils reprochent aux Parisiens, 290. — Frivolité des Parisiens, 291. — Les courses et les conférences, 292. — Souveraineté de la mode, 292. — Opinion de Rostopchin sur Paris, 294. — Engouements et enthousiasmes des Parisiens, 295. — Leur ingratitude et leur infidélité, 295. — Épidémies de bêtise, 296. — Les scies, 296. — L’esprit d’à-propos, 297. — L’amour de l’égalité et des distinctions, 297. — Le Parisien et les administrations urbaines, 299. — Sa badauderie, sa crédulité et son ignorance, 301. — Sa vantardise, son intrépidité et sa faiblesse, 302. — Sa fierté et son orgueil, 304. — Ce que les étrangers pensent de Paris, 304. — Sa grandeur dans l’histoire, 305. — Esprit de contradiction des Parisiens, 306. — L’opinion de César, 307. — Le bon vieux temps, 308. — La corruption des mœurs pendant le siècle de Louis XIV, 308. — Les financiers, 309. — Le jeu, 311. — Gandins, petits-crevés et gommeux, 312. — La moralité d’autrefois, 313. — Le maquillage, 314. — Engouement des femmes pour les gens de théâtre, 315. — La libre pensée et le dieu Matière, 316. — Sottise d’autrefois et sottise d’aujourd’hui, 317. — Prison antichambre du pouvoir, 318. — Les pétroleuses, 318. — Le cabaret et les ouvriers, 319. — Les tricoteuses 320. — Les effets de la richesse publique, 322. — Les mauvais jours d’autrefois, 324. — Le bonnet rouge et le chaperon d’Étienne Marcel, 326. — Menace de décapitaliser Paris, 326. — Supériorité de Paris et haine qu’il inspire, 329. — L’œuvre de Paris, depuis 1800, 331. — Ses travaux de salubrité imités dans les grandes villes de l’Europe, 331. — L’intelligence de Paris, 331. — Voy. Révolutions.
Monge (École), V, 128.

Monnaie. — La fabrication de la monnaie est une prérogative souveraine, II, 225. — Rois faux-monnayeurs, 226. — L’hôtel du quai Conti, 227. — Fabrication au marteau, 228. — Le balancier, 228. — La presse Ulhorn, 230. — Anciennes monnaies, 230. — Création de la monnaie française, 231. — Le système décimal, 231. — Monnaies actuelles, 232. — Alliage et titre, 233. — Commission des monnaies et médailles, 234. — Direction, 234. — Signes particuliers des monnaies, 236. — Les poinçons, 237. — Les coins, le paraphe, 238. — Surveillance des coins, 239. — Importance morale du graveur général, 240. — Le type, 241. — Fabrication des monnaies, 242. — Bureau du change, 242. — La fonderie, 245. — Les laminoirs, 247. — Le découpoir, 249. — La salle des presses, 251. — Division d’un million en or, 252. — Essai de la